VITRE-TUVALU

Dossier spécial OGM

L’association Vitré Tuvalu s’intéresse à la question des organismes génétiquement modifiés depuis plusieurs années. Afin que chacun y voit plus clair, voici un dossier, s’appuyant notamment sur l’excellent ouvrage de l’enseignant chercheur Christian Vélot, auteur de l’ouvrage « OGM, tout s’explique ». Merci à Muriel Gernigon pour la réalisation de ce dossier.
  

DOSSIER : Organismes génétiquement modifiés

--> Quoi de neuf sur les OGM sur Vitré Communauté ? 

--> Qu'est-ce qu'un OGM ?   

--> Comment est fabriqué un OGM ?

--> A quoi servent les OGM ? 

--> Les conséquences liées à l'utilisation des OGM

--> Les solutions : que peut-on faire à notre échelle ?

QUOI DE NEUF ?

Bientôt 100 communes défavorables aux OGM en Ille et Vilaine

Le collectif anti-OGM d'Ille et Vilaine interpelle chaque année les 353 mairies du département pour les inviter à délibérer sur  l'interdiction des OGM dans les cantines ou pour interdire la culture d'OGM en plein champs.  Voir la liste des communes ayant pris une délibération. Courrier relayé par Vitré Tuvalu.

Etrelles, Torcé, St M'Hervé, St Christophe des Bois, Landavran et Châteaubourg sont à la pointe du combat anti-OGM sur Vitré Communauté. 



Le détail des réponses des communes en 2012


Châteaubourg
Etrelles
Landavran
St Christophe des Bois
St M'Hervé
Taillis
Torcé
Mecé
Montautour
Princé
Domalain
Argentré
Balazé
Bréal sous Vitré
Brielles
Champeaux
La Chapelle Erbrée
Chatillon en Vendelais
Cornillé
Domagné
Erbrée
Gennes / Seiche
Louvigné de Bais
Marpiré
Mondevert
Montreuil des Landes
Montreuil / Pérouse
Le Pertre
Pocé les Bois
St Aubin des Landes
St Didier
St Germain du Pinel
St Jean / Vilaine
Vergéal
Val d'Izé
Vitré

Il y avait déjà 7 communes ayant déjà pris position contre les OGM (souvent un voeu de non culture OGM sur le territoire communal) avant 2012. Après notre courrier de relance (venant en plus de celui du collectif départemental), trois nouvelles communes viennent de prendre position :

- Mecé

- Montautour

- Princé

Nous nous félicitons de la prise de position contre les OGM sur ces deux communes. Et nous remercions aussi Domalain qui a pu débattre du sujet lors d'un conseil municipal (sans trancher).

Nous regrettons toutefois que 25 communes n'aient pas pris le temps de répondre à nos courriers. Peut être l'an prochain...

Consultez le guide des produits sans OGM de Bretagne

Pour consommer sans OGM : www.consommersansogmenbretagne.org.

Vous y trouverez notamment la liste des restaurants et magasins du Pays de Vitré qui peuvent vous garantir une alimentation sans OGM.

Vtré Tuvalu est membre du collectif anti-OGM d'Ille et Vilaine

Voir le site internet du collectif OGM d'Ille et Vilaine.


DOSSIER : COMPRENDRE LA TECHNOLOGIE OGM

 

QU'EST-CE QU'UN OGM ?


«Un OGM  (Organisme Génétiquement Modifié) est un organisme vivant (microbe, végétal, animal) ayant subi une modification non naturelle (intervention de l’homme), de ses caractéristiques génétiques initiales, par ajout, suppression ou remplacement d’au moins un gène1.» (Source : C. Vélot)

Dans le cas des OGM, les caractéristiques génétiques initiales (inactivation d’un gène par exemple) sont modifiées de façon non naturelle sans exploiter d'autres organismes vivants.

Alors que, les organismes transgéniques sont des organismes vivants dans lesquels on introduit de façon non naturelle au moins un gène provenant d’une espèce à laquelle il n’appartient pas.

Donc, si tous les organismes transgéniques sont des OGM, en revanche les OGM ne sont pas tous des organismes transgéniques.

Pour comprendre comment fonctionne un OGM, il est nécessaire d’avoir quelques notions de génétique. Je vous renvoie au livre de Christian Vélot qui explique de manière très pédagogique et abordable les notions de bases (cf chapitre 1 : Qu’est-ce qu’un OGM ?)

Une vidéo explique également de manière ludique les bases de la génétique :
«C’est pas sorcier : Du rififi dans les gènes»
VIDEO 1
VIDEO 2

Essayons tout de même de comprendre le principe de la technologie OGM et ses conséquences.

COMMENT EST FABRIQUE UN OGM ?

Il y a différentes manipulations pour obtenir des organismes qui auront au final un ou des gènes modifiés :
    -    soit par addition d’un gène : «(...) un gène est introduit dans un autre organisme (par exemple le maïs). Cet organisme «receveur» va prendre ce gène à son propre compte, le décoder et ainsi fabriquer la ou les protéines correspondantes.»
    -    soit par suppression d’un gène.
    -    soit par inactivation d’un gène. Prenons un exemple simple : Un gène d’intérêt (humain ou non humain) est introduit dans une bactérie (Escherichia coli). «Celle-ci est devenue transgénique puisqu’elle héberge un gène provenant d’une autre espèce. (...) Cette bactérie va se multiplier en grande quantité.» On obtient donc une grande quantité de notre gène d’intérêt. Ce gène va être inactivé (rendu inopérant). «Le gène inactivé est alors réintroduit à la place du gène normal dans l’organisme initial. On obtient alors un nouvel organisme puisque ses caractéristiques initiales auront bien été modifiées de façon non naturelle (...)» (Source : C. Vélot, p.52-53)

Les technologies OGM regroupent un ensemble de méthodes et de manipulations qui vont «conférer de nouvelles propriétés à l’organisme «receveur» qui est ainsi génétiquement modifié (organisme génétique).» (Source : C. Vélot, p.Vélot)

Remarques importantes :

    -    Quelle que soit la manipulation réalisée, on obtient des transgènes c’est-à-dire une CGA (Construction Génétique Artificielle) avec un promoteur et un terminateur. Un gène introduit dans un organisme vivant n’est jamais le gène initial, ce qui peut présenter des risques sanitaires et environnementaux. (Source : C. Vélot, p.39)
    -    Dans une cellule, le gène, qui est une protéine, prend une forme particulière qui permet à l’organisme de le reconnaître et de le traduire. Lorsqu’un gène modifié génétiquement est introduit dans l’organisme souhaité, le repliement de la protéine reste aléatoire : nous ne savons pas quelle forme la protéine va prendre dans le nouvel organisme, au sein de la nouvelle ADN. (Source : C. Vélot, p.40)
    -    La technologie OGM n’a rien d’une technique dite «chirurgicale» (Source : C. Vélot, p.41)

A QUOI SERVENT LES OGM ?

La technologie OGM est utilisée dans différents domaines :
-    Dans la recherche fondamentale,
-    Dans le domaine médical et pharmaceutique,
-    Dans l’industrie (textile, amidonnerie, papier, détergents),
-    Dans l’agro-alimentaire.


    -    Dans le domaine de la recherche fondamentale, les OGM sont utilisés de manière très routinière. Et comme tient à le souligner Christian Vélot : «La routine d’une pratique conduit inévitablement à une banalisation des risques qu’elle peut engendrer, (...)» (Source : C. Vélot, p.46)

    -    Dans le domaine pharmaceutique, un médicament est fabriqué de différentes manières : soit par synthèse chimique, soit par extraction d’une plante, soit par transgenèse.

Les PGM (Plantes Génétiquement Modifiées)  et les animaux transgéniques permettent la fabrication des «protéines médicaments».

Christian Vélot explique que la fabrication d’animaux brevetés permet d’étudier les pathologies et produire des traitements non pour guérir les maladies mais pour vendre des médicaments.

    -    Dans l’industrie, la technologie OGM permet de produire des enzymes (= protéines)
d’origine végétale, animale ou microbienne, dans des MGM (micro-organismes modifiés) utilisés en laboratoire et cultivés à grande échelle dans des fermenteurs. Les MGM peuvent être des bactéries, des levures, des champignons filamenteux. Cette technologie permet d’obtenir un meilleur rendement, d’avoir une pureté génétique, d'être moins coûteuse et moins difficile à obtenir.

Par exemple, les détergents sont des grands utilisateurs d’enzymes. 90% des poudres de lessives contiennent des enzymes dites recombinantes obtenus à partir de Micro-organismes transgéniques (protéases, amylases, lipases, et celluloses). Leur utilisation a l’avantage de diminuer l’introduction d’agents chimiques dans les lessives (phosphates), dans l’industrie textile, dans la papeterie.

    - Dans le domaine agro-alimentaire, la technologie OGM utilise :
-    Des plantes-pesticides qui accumulent des pesticides (insecticides, herbicides, fongicides) dans leurs cellules. Distinguons :
    -    Les plantes produisant en permanence un insecticide : maïs, coton, colza. «On les appelle des plantes Bt car le gène étranger (le transgène) qu’elles contiennent provient d’une bactérie du sol dont les initiales sont Bt : Bacillus thuingiensis» (Source : C. Vélot, p.94). Elles représentent 18% des plantes-pesticides.
    -    Les plantes capables d’absorber un herbicide sans mourir : soja, colza, maïs. Les plantes Roundup-Ready® sont fabriquées par Monsanto ou les plantes Liberty-Link® fabriquées par Bayer représentent 63% des plantes pesticides.
-    Les plantes qui réunissent les deux propriétés représentent 19% des plantes pesticides.
   

- Des plantes agricoles transgéniques représentent 1% des PGM du monde :
-    les plantes résistantes aux maladies virales ;
-    les plantes résistantes aux maladies fongiques ;
-    les plantes adaptées à des environnements hostiles ;
-    les plantes à valeur nutritive modifiée (vous remarquerez certainement le riz doré dans vos prochaines courses ...)

-    Des animaux transgéniques : des poissons, des porcs, des chèvres, et bien d’autres projets sont en cours...

-    Des micro-organismes modifiés. Le plus utilisé et le premier à avoir vu le jour est la levure de boulangerie (Saccharomyces cerevisiae). «Elle a la capacité de fermenter les sucres en alcool (Ethanol).(...) C’est ce gaz qui est alors responsable, lors du processus de panification, de la levée de la pâte, et qui conduit à la formation de la partie alvéolée du pain (...)» (Source : C. Vélot, p.114)

LES CONSEQUENCES LIEES A L'UTILISATION DES OGM


•    Le repliement de la protéine dans l’espace dépend de paramètres physico-chimiques (acidité, concentration en sels, ...) et n’est pas contrôlé. La seule contamination éventuelle par des cellules ou de l’ADN de l’organisme qui la fabrique est vérifiée.
 
•    Les protéines font partie d’un réseau métabolique complexe. Les perturbations peuvent avoir des impacts plus ou moins lointains sur le réseau métabolique, «sans qu’on puisse en prévoir les effets, non seulement sur la plante elle-même mais également sur ses interactions avec l’environnement et sur la chaîne alimentaire.» (Source : C. Vélot, p. 163)

•    Alors que les OGM de recherche dans le domaine médical et pharmaceutique sont utilisés en laboratoire confiné, les OGM en agro-alimentaire sont destinés à être disséminés dans l’environnement et dans les assiettes ! «Elles sont plantées ou semées, cultivées, récoltées et consommées (par les animaux et/ou les humains) exactement comme leurs homologues conventionnelles. Cette différence fondamentale soulève des questions nouvelles, d’ordre éthique, agricole, économique bien sûr, mais également d’ordre environnemental et sanitaire, (...)» (Source : C. Vélot, p. 91)

•    Dans le cas de l’utilisation de nombreux MGM (Micro-organisme Génétiquement Modifiés), «la modification génétique ne fait pas intervenir de constructions génétiques provenant d’un autre organisme. Ce sont des gènes ou des morceaux de gènes provenant de même organisme. Il s’agit de MGM non transgéniques auxquels il est donné le doux qualificatif de «SAGE» (Sans Addition de Gène Extérieur). Les concepteurs de ces MGM non transgéniques disent alors qu’ils ont été obtenus par autoclonage (gènes ou fragments de gènes provenant de la même espèce).» (Source : C. Vélot, p. 116). «Aucun MGM n’est aujourd’hui autorisé à l’utilisation dans les produits alimentaires en France, (...) et il existe un lobbying très fort au niveau européen pour que ces micro-organismes puissent échapper un jour à la législation classique des OGM (...)» (Source : C. Vélot, p. 120)

•    Dans le cas des plantes produisant un (ou des ) insecticides (plantes Bt), «la prétendue absence de toxicité des insecticides Bt en raison de leur caractère protéique repose sur le principe qu’une protéine ingérée est censée être totalement dégradée dans l’estomac en acides aminés. (...) C’est faire fi des nombreuses exceptions (...) n’oublions pas que le prion est capable de passer la barrière digestive» et que des études ont montré que des globules rouges humains et des cellules intestinales de souris peuvent être affectées. »  (Source : C. Vélot)

•    Autre aberration des plantes Bt : «Si les plantes Bt permettent a priori de diminuer la quantité d’insecticide pulvérisé sur les cultures, elles permettent donc nullement de s’affranchir de la présence d’insecticide dans l’environnement». Il y a accumulation dans les racines et les résidus de la plante lors de sa dégradation.

•    Des études ont prouvé l’effet toxique des plantes pesticides sur la faune, notamment la «faune non cible» : lombric, papillon monarque, papillon de nuit (Spotoptera littoralis), la guêpe (Cotesia marginiventris), le coléoptère (Poecilus copreus).

•    Les plantes Bt engendrent une sélection d’insectes résistants à l’insecticide.

•    Rappelons que les plantes tolérant un herbicide (Roundup® et Lyberty®) sont génétiquement modifiées pour ne plus mourir sous l’effet du principe actif de l’herbicide et n’empêche donc pas les agriculteurs de pulvériser l’herbicide (et pas des doses homéopathiques) sur les cultures : «plus la quantité d’herbicide pulvérisé est importante, plus le seuil de tolérance des ‘mauvaises herbes’ est élevé». (Source : C. Vélot, p. 138)

•    Christian Vélot dénonce la machinerie des firmes semencières : «Les firmes semencières et tous les tenants d’une agriculture toujours plus intensive nous présentent aujourd’hui les OGM agricoles comme la solution miracle pour réduire l’utilisation des pesticides dont ils nous ont pourtant vanté les mérites pendant plus de trente ans. Ils reconnaissent donc implicitement les dégâts sanitaires et environnementaux occasionnés par ces intrants, mais continue à rouler les citoyens dans la farine en se gardant bien de préciser que les OGM en question sont de véritables réservoirs à pesticides, d’une part, et qu’ils représentent au contraire, pour les firmes semencières qui les promeuvent, le moyen de stimuler la vente des pesticides (et en particulier des herbicides), d’autre part.» (Source : C. Vélot, p. 139)

Voici d’autres risques que Christian Vélot développe avec des d’exemple et des études scientifiquement:
•    Risques liés spécifiquement au PGM résistantes à des virus.
•    Risques d’allergies dues aux protéines codées par les transgènes.
•    Risques liés à la présence (dans beaucoup d’OGM) de gènes de résistance à des antibiotiques.
•    Risques de «contaminations» (pollutions génétiques) liées au PGM avec les notions de transferts verticaux (pollinisation et croisements inter-variétaux) et horizontaux (transfert direct de matériel génétique entre deux organismes. Exemple : plantes et micro-organismes du sol).
•    Risques liés à l’avantage sélectif procuré à l’OGM.

Christian Vélot insiste sur les carences et les déficiences du système d’évaluation des OGM en France et en Europe. Par exemple, les «plantes-pesticides» ne sont pas évaluées comme des pesticides. L’évaluation est faite sur le principe actif et non sur la formule commerciale. La directive européenne 2001/18 ne définit aucun cadre d’évaluation : «Non seulement ces études ne sont pas obligatoires, mais pour des raisons de protection industrielle, elles sont effectuées par un laboratoire choisi par la firme semencière concernée!» Je vous invite à lire la suite de ce chapitre qui donne notamment l’exemple du maïs Bt MON863 de Monsanto. (Source : C. Vélot, p.169)

«La liberté de cultiver des OGM, c’est la privation de liberté de faire autrement !
La coexistence est tout simplement synonyme, à terme,
de disparition des cultures conventionnelles et labellisées.»

Christian Vélot

LES SOLUTIONS : QUE PEUT-ON FAIRE A NOTRE ECHELLE ?

- Acheter des aliments sans OGM ( réclamer une révision de l’étiquetage) et si possible le plus «bio» (bios en grec = la vie, le vivant) en se référant aux guides des aliments sans OGM de Greenpeace : Aliments sans OGM et au guide des produits laitiers sans OGM : Produits laitiers sans OGM

-    Défendre une agriculture durable : «Elle repose sur une diversité des cultures et des pratiques agricoles, la protection des écosystèmes, une moindre consommation d'énergie, d'eau et de pesticides. Elle promeut l'indépendance des petits paysans et un commerce équitable. Elle exige une recherche au service du plus grand nombre.» (source : Greenpeace

- Adhérer à une campagne pour développer l’agriculture biologique (simple et efficace !) :
Agir pour l'environnement


-    Réclamer une meilleure évaluation : «S'opposer à la dissémination des OGM, ce n'est pas être contre la science. Au contraire, ce qu'il faut c'est plus de recherche. Plus de recherche sur les OGM pour mieux en connaître les risques. Plus de recherche indépendante des grands groupes agro-industriels.»
 (source: Greenpeace

-    Militer pour le respect du vivant : « Il est inadmissible que des multinationales puissent s'arroger le monopole des semences, des plantes et de leur génome en déposant des brevets qui leur en donnerait la propriété. Le vivant n'appartient à personne. Il est notre patrimoine commun. Nous devons impérativement lutter contre les tentatives de Monsanto et consorts d'enfreindre ce principe.»
(source : Grennepeace

-    S'associer au réseau Biocoop qui s’assure de filières sans OGM et milite contre l’utilisation des OGM.
Une plaquette explique leur démarche : Biocoop

-    Soutenir les faucheurs volontaires : Faucheurs volontaires

-    S’informer :

    - Le Criigen (Comité de Recherche et d’Information Indépendante sur le Génie Génétique) est un «groupe unique et international d’experts ayant une approche transdisciplinaire sur les bénéfices et les risques du génie génétique et sur les alternatives. Il est indépendant des compagnies de biotechnologies et promeut les contre-expertises.» (source : CRIIGEN)

    - Le journal Bimestriel d’Inf’OGM, «Idéal pour se «mettre dans le bain» des OGM, Inf’OGM, le Journal vous permet d’être au fait de l’actualité sur les OGM, de façon critique, contextualisée et indépendante.» (source : INFOGM

    - Pour aller plus loin dans les chiffres une synthèse de 2008 réalisé par Greenpeace : Les chiffres des OGM par Greenpeace

    - Film sur la campagne contre les OGM de Greenpeace : Détective OGM

    - Le film de Marie Monique Robin dénonce le système mensonger des firmes semencières : Film de Marie Monique ROBIN
N’hésitez pas à aller voir son site qui explique ses différents combats... et qui devraient être les nôtres : Marie Monique ROBIN

    - Sur la coexistence OGM/Conventionnelle/Biologique, texte du Comité Economique, Ethique et Social du Haut Conseil des Biotechnologies relatif aux conditions d’une existence pérenne entre les filières OGM et non OGM (séance du 14 décembre 2011) :  Haut Conseil des Biotechnologies

Des sites en parlent :
INF'OGM
Actus Environnement

    - Sur la coexistence impossible des abeilles et des OGM : une pétition à signer !
Pétition "Abeilles et OGM"


Notes :
1 : «On entend essentiellement par gènes des segments d’ADN (de chromosomes) détenant l’information qui permet à la cellule de fabriquer une ou plusieurs protéines.» (Source : C. Vélot, p.210)

2 : Une protéine recombinante : «se dit d’une protéine obtenue par transgenèse, c’est-à-dire fabriquée par un organisme différent de celui qui la fabrique naturellement, après qu’il est reçu le gène (ou plus précisément la CGA faite à partir de ce gène) qui en détient le secret de fabrication.» (Source : C. Vélot, p.212)

Références :

Christian Vélot, "Ogm, Tout s’explique", Editions Goutte de Sable,  2009

Christian Vélot

www.criigen.org
www.ogm.gouv.fr
www.actu-environnement.com
www.agirpourlenvironnement.org
www.greenpeace.org
www.biocoop.fr
www.infogm.org
www.ogm-abeille.org
www.monde-solidaire.org